Dharamsala – Sorry Charles…
Mike, le bout en train canadien du dortoir. Malade, les intestins en compote depuis quelques jours, il s’est dit que ce serait une bonne idée de prendre du LSD en rentrant d’une balade nocturne en forêt. Vers 22h, il est pris d’une chiasse fulgurante. Pas de PQ dans son sac à dos, mais un classique de Charles Dickens, « Bleak House », près de 1000 pages, c’est parfait. A son retour dans la chambre, le livre n’en compte plus que 500. Fou rire général lorsqu’il nous raconte ça dans le dortoir, les pupilles dilatées, surexcité, halluciné… et vaguement dépité. Sorry Charles.